Caserne - arrivé de Madoka

A peine eut il entendu la voix de l'antité résonner dans sa tête, que Madoka se sentit bizarre et eut un vertige.
Quand il ouvrit les yeux, il était assit sur un banc, devant un grand bâtiment de pierre.
Il écarquilla les yeux, ayant peine à y croire et se leva pour regarder un peu mieux les lieux.

il y avait des gens habillés bizarrement qui se battait avec des armes révolus, d'autres qui discutaient dans un coin.

Certains criaient aux autres des ordres.

Ca avait tout l'air d'un camp militaire.

Madoka secoua la tête et se pinça pour être sûr qu'il ne rêvait pas et quand il en fut certain prit une grande respiration.

Il se rappela alors de sa quête.

....
Pas évident pour tout dire...

Bon, ce qui était sûr, c'est que ce ne serait pas ici qu'il arriverait à terminer sa quête.

Madoka chercha du regard une sortie et se dirigea vers elle.

(sort)

Les pieds dans la boue, les mains presque en sang, Ryou lâcha prestement la lance qu'il tenait et s'essuya sur ses vetements, le regard perdu dans le paysage autour.

Bien.

Un garde ... avec une lance ... dont le manche était si rugueux qu'il entamait la peau fragile de ses mains. Parfait. Vraiment parfait.

Il pesta et se pencha pour ramasser l'arme et la déposer machinalement sur le râtelier, pile au bon emplacement. Bon, au moins, il avait certains automatismes.

Maintenant, il ne restait plus qu'à repérer les lieux ...

*Pfiouuuuuuuuuuu*
...
*BLAM*

Dali atterrit à genoux sur le sol. Il grogna en se relevant difficilement. Et fit la gueule du siècle.
...
...
_C'est quoi cette jupette x____x

D'accord y'avait un truc en dessous mais c'était une jupe bordel. C'était bien un truc de Grec ça >.> Encore un peu et il se retrouvait à poil.

Ryou cligna des yeux en appercevant le garçon et remercia le ciel ou qui que ce soit de lui avoir épargné ce genre d'atterissage brutal.
Machinalement, il porta les mains sur ses hanches et ses cuisses ... une jupette, qu'est-ce qu'il fallait pas ent ... merde ...

Bon, relativisons, il n'était pas le seul à être demi à poil ... comment est-ce qu'il avait fait pour ne pas le remarquer plus tôt =_=

Il considéra une demi seconde la situation et haussa les épaules, passant tout de suite à autre chose. Autant ne pas s'attarder.

"- Bienvenue à la caserne, ou ce qui s'en rapproche ... la-dite jupette te va à ravir."

Et d'abord, c'était qui lui, il l'avait jamais vu.

Dali releva des yeux effarés de son costume. Il avait signé pour une quête pas un cosplay de gonzesse.

_Hum... Une caserne. T'es de la... province ?

Ne regarde pas ma jupette comme ça où je te tords le cou >_< C'était-il déjà senti aussi ridicule, il en doutait sérieusement... Mais le type avait dit que ça lui allait bien. Merveille. Il allait se récupérer toutes les nymphos de la région sur le dos.

_Dali... Dali Ashfield. J'étais dans un lycée et... je suis là...

De la province ... c'était la première fois qu'on lui faisait le coup, et il n'appréciait pas vraiment. Enfin, autant rester dans de saines relations amicales avec le plus de monde possible ... du moins pour commencer.

"- Pareil ... faut pas chercher à comprendre ... en tout cas moi ça me branche pas ...", marmona-t-il en omettant plus ou moins volontairement de se présenter à son tour.

Il voulait juste savoir où il était, et commencer éventuellement sa quête.

"- Je crois que ça sert à rien de rester ici, sauf pour voir débarquer d'autres gars en jupettes ...", il tira sur la sienne pour la rallonger, " ... on bouge ... euh ..."

ça y est, c'était quoi son nom déjà ?

"- ... Machin-kun."

_Ah ! Tu es aussi lycéen. Je pensais... enfin je ne savais pas. Et c'est Dali, truc-kun, termina-t-il avec un joli sourire satisfait.

A l'autre aussi ça lui allait bien la... tunique. Beaucoup mieux comme terme, parce que jupette, ça faisait tout de suite majorette du coup... Peut-être qu'elle avait été taillé pour sied à tout le monde... Fukami était un Très Haut vraiment sympa dans ce cas là.

_Peut-être devrait-on chercher dans ses baraquements ? proposa-t-il en le matant pas très discrètement en faisant mine d'observer le paysage. T'as dit que tu t'appelais... ?

"- J'ai rien dit du tout.", lâcha-t-il dans un sourire en coin.

Il s'étira et avança un peu, râlant contre la boue qui collait à ses bottes. D'ailleurs, heureusement qu'il avait hérité des bottes, et pas des sandalettes, ça évitait un joli carnage.

...

Cette jupe était vraiment très courte ... ... putain de vent.
Il plaqua ses mains sur le tissu et sortit du terrain d'entrainement, observant les remous du vetement de l'autre garçon en ricanant.

"- Va pour les baraquements ... y aura peut-être de quoi se changer."

ça devenait une idée fixe.

Dali se dirigea vers les batisses recouvertes de chaux blanches qui avaient l'air de servir d'entrepot à l'armée résidente. Il fit signe à truc-kun, "je suis mystérieux" de le suivre en souriant en coin et en secouant la tête.

_Si je trouves un pantalon, je te porte jusqu'à notre prochaine destination, lâcha-t-il pensif.

Il ferma les yeux en entrant dans le bizarre dépôt suivi par son camarade. C'était quoi cette idée débile qu'il venait de proférer à l'encontre de l'autre. Il était soldat pas pousse-pousse.

(sortent)

Une seconde après avoir ouvert les yeux, Nyon les referma.

Okééééééééé =_____=
Il n'avait rien vu.... Et il ferait d'ailleurs mine de pas sentir le courant d'air au niveau des jambes... *bien que ce soit bien la seule chose qu'il pourrait supporter plus de 20 secondes*

Maintenant.... il fallait... quêter >_>
Même il ne savait absolument pas comment réussir un exploit pareil.

... Ca sentait les embrouiiiiiiilles >______________<
Bref =_=..... quêter =_= .... sûrement pas là qu'il allait trouver quelque chose =_=

Et puis pourquoi garde d'abord? ....Empereur c'était tellement mieux =_=

(sort)

Yumeka ouvrit les yeux doucement et regarda autour de lui. Bon ok, il était tombé en plein cauchemar nee ?

"Où je suis encore...?" Se demanda t'il plus à lui-même qu'au...vide pluisqu'il n'y avait personne d'autre dans la salle.

Se relevant doucement, et réalisant un peu tardivement que jusqu'ici il avait été allongé, le châtain décida d'aller visiter les lieux. Il ne devrait avoir aucun mal à se repérer logiquement, et au moment même où il franchit la porte, le jeune homme partit dans ses pensées, laissant ses pas le guider.

(sort)